Après un cursus technique (BUT, anciennement DUT), j’ai souhaité intégrer le Magistère Européen de Génétique pour développer mon profil de chercheur. Ce qui m’a le plus attiré, c’est le programme qui prévoit 1 stage par an dont 2 à l’étranger mais aussi la diversité des modules d’enseignement qui offrent la possibilité de se spécialiser dans n’importe quel domaine de recherche de son choix. Stéphanie F., DUT Génie biologique, U. La rochelle, Doctorante Institut Curie, Paris
Souhaitant faire de la recherche fondamentale en sciences de la vie, j’ai choisi d’intégrer la classe préparatoire BCPST du lycée Henri IV après mon bac. A l’issue de deux années d’études, j’ai passé les concours en ayant pour objectif l’admission à une ENS mais n’ai pas été retenue à l’issue des épreuves. Les deux choix principaux qui s’imposaient à moi étaient alors de retenter ma chance l’année suivante, ou d’accepter une proposition d’admission en école d’ingénieur – qui aurait été synonyme de formation plus technologique et appliquée que ce à quoi j’aspirais. Sur conseil d’un professeur, je me suis renseignée sur les sites des universités de l’académie et ai trouvé par hasard celui du Magistère. Sur le papier, cette formation qui commence en L3 avait toutes les caractéristiques que je recherchais : axée sur la formation par la recherche, offrant une ouverture sur la recherche à l’étranger via des cours en anglais et plusieurs stages à l’étranger, ainsi que la possibilité de construire soi-même son propre parcours. Aujourd’hui, alors que je commence ma thèse à l’Institut Curie, je ne regrette pas mon choix et suis reconnaissante de ce que le Magistère m’a apporté. Grâce aux nombreux contacts étrangers des enseignants-chercheurs, j’ai pu réaliser deux stages à l’étranger (en L3 et en M1) et me confronter à des fonctionnements très différents en laboratoire. Le choix large d’UEs, notamment en Master, m’a permis d’avoir un parcours spécialisé dans le domaine qui m’intéresse le plus, tout en acquérant de très bonnes bases en génétique et en biologie moléculaire qui me servent tous les jours. Je recommande volontiers le Magistère aux 3/2 (ou 5/2!) qui souhaitent s’engager dans une voie menant à de la recherche académique. Clara V.P., CPGE BCPST Henri IV, Paris, Assistant Ingénieur, Institut Curie, Paris
A la fin de ma prépa, je recherchais une formation qui me permette de me spécialiser en génétique et de faire de la recherche plutôt que de devenir ingénieur. J’ai entendu parler du MEG et le format de la formation à mi-chemin entre spécialisation théorique et intégration à la vie professionnelle via les stages et les travaux pratique m’est apparue comme relativement sécurisante en termes de débouché. Deux autres points forts pour ma part ont été l’effectif réduit de la promotion et la possibilité d’explorer énormément de spécialisations au sein de la génétique afin de pouvoir préciser mon projet professionnel (assez flou à l’époque). Astrid C., CPGE BCPST Henri IV, Paris, Master 2 Génétique, UPC
La génétique et les sciences de la vie m’ont toujours passionnée. Après deux années de classe préparatoire BCPST, j’ai décidé d’intégrer le Magistère Européen de Génétique pour sa solide formation en génétique, à la fois théorique et pratique, me permettant de recevoir un enseignement de qualité dans des matières qui me passionnent telles que: la génétique humaine, l’épidémiologie génétique ou encore la bioinformatique. Mais au-delà de l’enseignement, les stages à l’étranger et en France offrent une expérience unique nous permettant de nous immerger dans le monde du travail en laboratoire, d’acquérir des compétences autant pratiques que relationnelles. Merci le MEG pour ces trois merveilleuses années ! Zoéline M., CPGE BCPST, Lille, Doctorante Institut Imagine, Paris
Durant un de mes stages en BTS ABM j’ai eu l’opportunité de faire de la génétique. Je me suis tout de suite rendue compte que ça me plaisait et que même si mon BTS me permettait de faire technicienne en génétique, je souhaitais avoir des connaissances plus approfondies. J’ai donc décidé continuer mes études dans ce domaine et c’est le MEG qui correspondait le plus à mes attentes au niveau du cursus mais aussi des opportunités de stage. Suite à mes 3 années de MEG, j’ai pu obtenir un poste d’ingénieure dans un laboratoire de recherche publique. Angélique A., BTS Analyse de Biologie Médicale, St Denis, Assistant Ingénieur, CEDC, Paris
C’est durant un stage lors de mon BTS, que j’ai entendu parler du Magistère Européen de génétique, et c’est notamment lorsque j’ai pris connaissance de la possibilité d’effectuer des stages à l’étranger que j’ai pris la décision de tenter d’intégrer cette formation. Le MEG m’a à la fois permis d’acquérir d’énormes connaissances scientifiques, mais m’a également permis de vivre des expériences hors du commun à l’étranger via les stages que je n’aurais sûrement jamais pu vivre si je n’avais pas intégré la formation. Nelson M., BTS Biotechnologie, ESTBA, Doctorant, Institut Pasteur
Mon choix pour le magistère a été essentiellement guidé par mon envie de découvrir le monde de la recherche sur le terrain. Les stages proposés dès la L3 dans des instituts de recherche de renom sont une chance unique dans le paysage de la formation scientifique en France. J’ai pu confirmer ainsi très rapidement mon envie de continuer dans la recherche à travers un stage en biologie cellulaire en Norvège et un stage en génétique et neurobiologie à New-York. La qualité des enseignements suivis tout au long du cursus m’ont permis de me constituer un socle de connaissances et de compétences solides très utiles tout au long de mes différentes expériences dans le monde de la recherche. Formation tant théorique que pratique, elle nous permet de nous constituer un réseau scientifique important et de qualité ! C’est un réel plus dont je ressens encore les bénéfices aujourd’hui ! Donc à tous ceux pour qui la prépa n’a pas répondu à toutes leurs attentes et veulent cultiver leur curiosité à travers la recherche, n’hésitez pas à vous lancer dans le magistère, vous ne serez pas déçus ! M. GUEYDAN, prépa BCPST Lycée du Parc (Lyon), Dr. en génétique et neurobiologie, professeur de SVT